Dans le cadre de l’opération nationale « prison morte » ils étaient devant les portes de leur établissement pour dialoguer lundi 15 et mardi 23 janvier. Leurs demandent sont légitimes face à l’inquiétude qui est la leurs. Il souhaitent être écouté et obtenir davantage de sécurité et plus de moyens afin d’améliorer leurs conditions de travail.